Tout comme le type qui crache jusqu'à venir à bout de sa salive, j'écris ces courtes pensées afin de stimuler mon imagination. Car la spontanéité des idées est une faculté qui se développe par la pratique, quoi qu'en pensent les défenseurs de l'innéité du talent.
Quelques semaines auparavant, un blogueur (ou une blogueuse, je ne me souviens plus), publiait un billet sur le devenir-écrivain. L'existence d'un tel concept peut sembler étonnante, mais il s'avère que certains affirment que l'on naît écrivain. Comme si les manieurs d'histoires étaient des élus littéraires ! Cette vision des choses n'est pas seulement absurde : elle est une source de découragement pour ceux qui cherchent à écrire de manière passive.
Aussi ennuyeux que cela puisse paraître, travailler sa plume et son esprit est plus que nécessaire. Une connaissance des mécanismes de la langue, du monde qui nous environne et de nos propres capacités créatrices ; voilà de quoi épuiser l'énergie de celui qui entreprend de pareils labeurs. Or, les pontes sont d'agréables récompenses. Et c'est une fois le travail accompli que l'on comprend que le tout en valait bien la peine.
Du reste, au même titre que le cracheur à la langue desséchée, mon esprit s'est tari au fil des jours. Le rythme de ce blogue ralentira donc un peu au cours des semaines à venir. En espérant que les prochains billets soient plus riches en contenu !
Quelques semaines auparavant, un blogueur (ou une blogueuse, je ne me souviens plus), publiait un billet sur le devenir-écrivain. L'existence d'un tel concept peut sembler étonnante, mais il s'avère que certains affirment que l'on naît écrivain. Comme si les manieurs d'histoires étaient des élus littéraires ! Cette vision des choses n'est pas seulement absurde : elle est une source de découragement pour ceux qui cherchent à écrire de manière passive.
Aussi ennuyeux que cela puisse paraître, travailler sa plume et son esprit est plus que nécessaire. Une connaissance des mécanismes de la langue, du monde qui nous environne et de nos propres capacités créatrices ; voilà de quoi épuiser l'énergie de celui qui entreprend de pareils labeurs. Or, les pontes sont d'agréables récompenses. Et c'est une fois le travail accompli que l'on comprend que le tout en valait bien la peine.
Du reste, au même titre que le cracheur à la langue desséchée, mon esprit s'est tari au fil des jours. Le rythme de ce blogue ralentira donc un peu au cours des semaines à venir. En espérant que les prochains billets soient plus riches en contenu !
2 commentaires:
Des vérités, que de tristes vérités.
Hélas.
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