Ces derniers jours ont été plus que productifs en ce qui me concerne. C'est donc avec un certain effort que je rédige ces mots, qui se veulent une apologie de l'affairement. Car s'il est épuisant, voire étouffant de s'imposer un horaire strict et inflexible, il s'agit d'un moyen sûr d'être productif et de terminer des tâches que nous ne cessions de remettre à plus tard. La dynamique qui s'ensuit nous propulse à une vitesse folle, et il est difficile dans un tel contexte d'interrompre nos activités. Ainsi le sentiment de n'avoir aucun droit au repos est-il assez plaisant, et le sommeil plus profond durant la nuit...
Du reste, puisqu'hier je n'ai pas eu l'occasion de rédiger un petit quelque chose pour ce blog, voici quelques mots spontanés : pour faire de la philosophie, il faut être un peu fou et prendre plaisir à s'entretenir avec le vide.
Du reste, puisqu'hier je n'ai pas eu l'occasion de rédiger un petit quelque chose pour ce blog, voici quelques mots spontanés : pour faire de la philosophie, il faut être un peu fou et prendre plaisir à s'entretenir avec le vide.
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