Il suffit d'attraper un mauvais rhume pour s'apercevoir que nous n'avons point le temps de tomber malades. Du moins, est-ce le cas pour les bourreaux de travail comme moi ! Des lectures à faire, un mémoire à travailler, des cours à préparer, des langues à apprendre, des instruments de musique à pratiquer, des textes à écrire et à peaufiner...
Le temps passe si vite, et les journées sont si courtes ; j'ai beau tousser, crachoter et me moucher toutes les cinq minutes, je continue quand même mes trucs jusqu'à ce que je m'effondre sur mon divan. Même mes chats me dévisagent en me voyant tomber d'épuisement alors que je suis pourtant bourré de caféine. Et je ris tant je me trouve absurde tout en étant fier de l'être.
Dans ces moments, je me demande comment l'ennui est possible dans un monde aussi riche que le nôtre. J'aimerais le saisir en quelques minutes seulement via les mots et les promenades cathartiques. Alors, je me presse et me plonge à nouveau dans un travail acharné qu'aucun rhume n'est à même de freiner. Tout au plus suis-je ralenti...
Et je ris de mon absurdité et de la mine que font mes chats !
Dans ces moments, je me demande comment l'ennui est possible dans un monde aussi riche que le nôtre. J'aimerais le saisir en quelques minutes seulement via les mots et les promenades cathartiques. Alors, je me presse et me plonge à nouveau dans un travail acharné qu'aucun rhume n'est à même de freiner. Tout au plus suis-je ralenti...
Et je ris de mon absurdité et de la mine que font mes chats !
2 commentaires:
Vous ne comprenez pas. L'ennui est la source d'inspiration de certains.
Ce monstre délicat...
Je suis un intarissable ignorant, que voulez-vous.
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