le poison s’incruste
dans le réseau sanglant des vipères
là où périssent de multiples sirènes aux seins tranchés
le wagon-hivernal-ithylique-sidéral-kabbalistique-yttrifère ne cesse d’enchanter
la substance grise
l’ivoire fluide qui ravage les mondes sarcastiques
et les mondes masochistes
du rêveur qui glane
ici et là
sous les miasmes abstraits
sur les noires démences à la verge blanchie
les reptiles aux langues fourbues se noient
dans les eaux fortes et odorantes
sous le joug de la passion – de l’autodestruction
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