Dernièrement, mon ami et collègue Guillaume Voisine a rédigé un billet à propos de la vie quotidienne et de l'écriture, qui sont parfois difficilement conciliables. Tout comme lui, je n'ai eu que peu de temps ces dernières semaines pour me plonger tout entier dans mes projets d'écriture. Mais en ce qui me concerne, le besoin d'écrire s'est rapidement fait sentir...
Tandis que certains conçoivent l'écriture comme un divertissement servant à alléger le rude quotidien et que d'autres apparentent la chose à un effort, un travail, voire même un métier, je considère pour ma part l'écriture comme une nécessité, sans quoi un sentiment de vide ne tarde pas à m'envahir. Tristan Tzara a écrit : « J'écris parce que c'est naturel comme je pisse comme je suis malade". Voilà qui traduit parfaitement ma pensée. Il me faut écrire ! une nouvelle, une partie d'un roman, un poème, un journal... N'importe quoi ! En autant que le papier se noircisse de mots, de phrases, d'idées, d'esthétisme... Je considère par ailleurs le retravail d'un texte comme de l'écriture en soi ; car la réécriture s'avère chez moi tout aussi efficace pour assouvir ce besoin impérieux d'écrire.
Tandis que certains conçoivent l'écriture comme un divertissement servant à alléger le rude quotidien et que d'autres apparentent la chose à un effort, un travail, voire même un métier, je considère pour ma part l'écriture comme une nécessité, sans quoi un sentiment de vide ne tarde pas à m'envahir. Tristan Tzara a écrit : « J'écris parce que c'est naturel comme je pisse comme je suis malade". Voilà qui traduit parfaitement ma pensée. Il me faut écrire ! une nouvelle, une partie d'un roman, un poème, un journal... N'importe quoi ! En autant que le papier se noircisse de mots, de phrases, d'idées, d'esthétisme... Je considère par ailleurs le retravail d'un texte comme de l'écriture en soi ; car la réécriture s'avère chez moi tout aussi efficace pour assouvir ce besoin impérieux d'écrire.